« Emerse Faé a joué au foot, mais malheureusement… », les vérités de Martial Gohourou
Lors d’une récente apparition dans l’émission Peopl’Emik, l’analyste sportif Martial Gohourou a fait un éloge inattendu de l’entraîneur Emerse Faé. Il a loué ses réalisations lors du tournoi de la CAN 2023.
Gohourou a exprimé son admiration en déclarant :
« Emerse Faé, moi je pense que c’est un technicien qui a de l’avenir. J’ai eu l’occasion de dire qu’il a un avenir prometteur. Il a sa vison du football.
Pendant cette CAN 2023, il a été lancé dans le bain après le départ de Jean-Louis Gasset, le patron de l’encadrement technique des Éléphants. Et puis, Emerse Faé, ce technicien ivoirien, a permis à la Côte d’Ivoire d’avoir sa 3ᵉ étoile. Alors, je ne peux que le féliciter.
Ça prouve donc qu’en Côte d’Ivoire, il y a de la qualité, qu’il y a des techniciens qui peuvent valablement conduire la sélection de Côte d’Ivoire. Félicitations à lui« .
Martial Gohourou revient sur le parcours d’Emerse Faé en tant que joueur
Se penchant sur la transition de Faé de joueur à entraîneur, Gohourou a reconnu les défis auxquels Faé a été confronté en raison de problèmes de santé qui ont mis fin prématurément à sa carrière de joueur. Malgré ce revers, la détermination et la résilience de Faé l’ont propulsé vers le succès dans son nouveau rôle d’entraîneur.
« Je pense que ce n’est pas la même époque. Emerse Faé a joué au foot, mais malheureusement, il a dû écourter sa carrière pour des problèmes de santé. Mais aujourd’hui, il s’est reconverti en technicien. Il était en France, et aujourd’hui, il est avec la Côte d’Ivoire.
Moi je pense que quand il était footballeur, il n’a pas connu une mauvaise carrière. Et aujourd’hui, il est technicien et il gagne. Il a quand même gagné la compétition la plus prestigieuse en Afrique.
Je crois que c’est quelque chose d’exceptionnel. Emerse Faé, je l’aimais en tant que joueur. Maintenant qu’il est technicien, je l’adore« .
L’histoire de Faé est une source d’inspiration pour les athlètes et les entraîneurs en herbe.
